- Durée: 3 jours (environ)
- Lieu: Brazzaville
- Code produit: tigerhuntbzv3d
Week-end de pêche au tigre au départ de Brazzaville - 3 jours et 2 nuits - Circuit camping de base
Jour 1 : Brazzaville – Maloukou via le Port de Yoro.
Partie A : Port de Yoro
C'est ici que nous embarquerons sur une pirogue locale, une pirogue motorisée et sûre. Nous partirons du port de Yoro jusqu'à Maloukou. Vous participerez à la pêche nocturne du premier jour.
Partie B : Maloukou
Après notre arrivée sur l'île de Malouko, nous aurons le temps d'installer nos tentes et aussi
l'heure du déjeuner.
Partie C : Bas-Congo
Le soir, nous commencerons à pêcher le Tigre Goliath à travers plusieurs méthodes
que les guides et les pêcheurs nous montreront. Souper et nuit sur l'île.
Jour 2 : Maloukou – Pêche au tigre / Pêche
Après le petit-déjeuner sur l'île, nous poursuivons notre deuxième journée en remontant le fleuve Congo et partons à la recherche de nouvelles zones de pêche au poisson-tigre et à d'autres espèces, en compagnie de nos
Pêcheurs professionnels. Toute la journée, nous pratiquerons différentes techniques de pêche congolaise et sportive. Ce programme est flexible et peut être adapté à nos besoins, en fonction de la situation des passagers, des communautés locales et du fleuve Congo. Dîner et nuit sous tente.
Jour 3 : Plus de pêche / Maloukou – Brazzaville
Profitez pleinement de votre dernière journée de pêche sur le fleuve Congo, ses bras et affluents, en compagnie de notre équipe. Après votre activité matinale, nous retournerons au port de Yoro à Brazzaville pour la fin de votre excursion.
Cette visite comprend :
- Taxes gouvernementales
- Toutes les activités telles qu'indiquées dans l'itinéraire
- Un guide parlant anglais
- Frais de guide
- Tentes
- Frais de bateau
- Carburant et huile
- Frais de pêche
Cette visite ne comprend pas :
- Conseils
- Objets de nature personnelle
- Boissons
- Repas
Un peu sur le port de Yoro :
Le port de Yoro est une enclave à l'extrémité du district de Mpila. Le lieu doit son nom à Yoro Thiam, propriétaire sénégalais dans les années 1950 du terrain où le port a été établi. Il est isolé.
L'emplacement au centre-ville, à proximité des dépôts de boissons et de bières, des chantiers pétroliers et des anciens chantiers navals, donne la curieuse impression d'avoir quitté la capitale et commencé à s'infiltrer aux portes de la grande savane du Congo.
Passé ce point, on s'enfonce dans le quartier du port où se tient un grand marché aux poissons (et l'affreux mais symptomatiquement sain amas de détritus éparpillés sur le terrain témoigne de l'intense activité du lieu, mais n'est pas un joli spectacle). Le port se trouve au-delà d'un poste de douane qui ressemble à une cabane en dur abandonnée, et est installé le long d'une crique au confluent du Tsieme et du Congo.
Quelques dizaines de pirogues et de bateaux de pêche y sont amarrés. Mpila était, avant la colonisation française, un village téké et un port de commerce prospère. Le dernier chef colonial du village, Mbankwa, mourut en 1916 et fut enterré ici. Son tombeau, caractérisé par une ouverture destinée à nourrir l'esprit du défunt par des offrandes, conformément aux rites funéraires batéké, est aujourd'hui oublié. Nous sommes ici tout près des anciens chantiers navals de l'époque française et européenne.